12 mai 2010

Chili : Antofagasta

Aprés une nuit de bus depuis La Serena, je suis arrivé dans la ville d'Antofagasta. Mon choix de prendre le bus a été judicieux car la Panaméricaine n'est pas interessante pour un cyclo voyageur de mon espéce. Je ne fais pas ce voyage pour faire le plus de kilométres possibles. Qu'importe le nombre, je veux profiter des paysages et des rencontres....
Antofagasta n'est pas une ville agréable même si sa place d'arme et sont petit port de pêche sont plaisants. La ville est un grand port commercial d'où part toute la production de cuivre des mines du désert d'Atacama
La cathédrale de la ville
La vieille jetée classée monument historique
Les pélicans sont toujours présents là où le poisson n'est pas loin. J'adore ces oiseaux qui ne sont pas esthétiques sur terre alors que dans les airs ils sont magnifiques.

Les embarcations toujours colorées. Je pense que les couleurs rendent le dur labeur plus facile à gérer. Ne devrais je pas repeindre Popeye de couleurs vives ?

Embarcation au nom de la ville

En arrière plan on peut voir la "la cordillera de la costera". Une chaîne de montagne longeant la côte et que je vais devoir franchir pour commencer mon aventure dans le désert le plus aride du monde

Ceux ci seront les dernières photos de moi prés de l'océan car dés demain je prend la route du Désert d'Atacama et de la Bolivie. D'autres paysages qu'il me tarde de découvrir

8 mai 2010

Chili : De La Ligua à La Serena



Ce matin au départ de la ville de La Ligua je n'ai pas le choix. Il n'y a qu'une seule route et c'est une AUTOROUTE !! Ici pas de problémes les vélos sont autorisés même s'ils n'y en a aucun. J'ai donc pédalé plus de 80km sur la bande d'arrêt d'urgence de celle ci. Le goudron était bon mais je dois avouer que malgrés le beau temps et ma sérénité en ce jour, ce n'est pas l'extase



Au passage du péage je me met entre un bus et un camion. Je me suis senti tout petit, mais je n'ai rien eu a payer avec mon vélo car Popeye n'a pas de moteur !!!!



Je suis donc sorti de l autoroute pour arriver a Los Vilos. Une petite ville tranquille avec un petit port de pêche agréable



Les pêcheurs collectent des algues car la seule pêche ne suffit pas à faire vivre des familles entiéres



Depuis Los Vilos j'ai pris un bus pour me rendre dans la ville de La Serena car l'idéee de me refaire 250km sur l'autoroute ne m'enchantait guére. La Mairie de la ville

L eglise San Augustin a cote du marche artisanal de la Recova

La cathédrale de La Serena

Le phare de La Serena

Le port de Coquimbo à quelques kilométres de la Serena. Une balade a vélo sans sacoches cela surprend sur les premiers métres



Les pélicans sont partout et ne sont aucunement effrayés par un touriste de mon genre



Ville de Coquimbo. Ce que l on voit au loin c est le Centro Mohammed VI pour le dialogue des civilisations, plus connu sous le nom de la Mezquita. C est un centre culturel offert par le roi du Maroc. Le minaret est une réplique a l échelle de la Kutubia de Marrakech au Maroc

Ce bateau ressemble un peu à un bateau fantôme

5 mai 2010

Chili : de Valparaiso à La Ligua

Aprés quelques jours passés à Valparaiso, j'ai enfin repris la route vers le nord du pays. J'ai beaucoup aimé cette ville, mais mon voyage est encore long....
J'ai longé la route côtiére jusqu'à la ville de Las Ventanas où j'ai passé la nuit. Las Ventanas n'est qu'une ville industrielle sans charme si ce n'est ce bout de plage. Ici aucun touristes et j'étais un peu l'attraction du jour et tout le monde voulait me parler
Le lendemain un brouillard dense a envahi le ciel. Une journée sans soleil. La route est bordée d'eucalyptus dégageant leurs senteurs agréables.
La route côtiére est escarpée et les riches chiliens y font construire leurs maisons de luxe. Ici les différences sociales sont trés importante et le luxe cotoie la pauvreté
Avec le brouillard d'aujourd'hui j'ai roulé avec mon gilet fluo pour être visible de tout les véhicules. Les chiliens semblent respecter les cyclistes malgrés leur rareté
Pêcheurs sur la plâge de PAPUDO

26 avr. 2010

Chili : Valparaiso


Aprés un petit séjour à Santiago, j'ai rejoins la côte pacifique et la ville de Valparaiso. Au premier coup d'oeil, la ville n'est qu'un grand port de commerce sans charme  


 Et également un port militaire où de nombreux batiments de guerre sont basés.


   Mais lorsque lorsque l'on s'enfonce un peu dans la ville ou que l'on monte dans les collines (cerros), nous découvrons une architecture magnifique ainsi que des ruelles colorées au un charme unique

 L'horloge TURRI à l'angle des rues Prat et Cochrane


 La plaza Victoria


 De nombreux hôtels et restaurants sont accrochés à la colline. Lors du dernier tremblement de Terre nombre d'entre eux se sont fissurés.


 Des couleurs partout


 En haut du cerro Artilleria , un petit restaurant avec une vue sur la ville et le port

La moindre ruelle explose de couleurs. La pauvreté est présente mais là couleur rend celle ci plus présentable


 La calle Templeman où se trouve mon hôtel :
Hostal ACUARELA