16 mai 2010

Chili : d'Antofagasta à Calama à travers le désert d'Atacama


je rêvais de ce désert d'Atacama, mais cela fût plus dur que prévu. Une première journée avec des températures allant jusqu'à 42°c, un bus qui éclate son pneu devant moi en envoyant des dizaines de fragments à quelques métres de moi puis un vent de face continuellement. Mon voyage aurait pu s'arréter sur cette Ruta 5....La vie ne tient à pas grand chose




Le 13 mai 2010 je passe le tropique du capricorne en plein désert d'Atacama

  Pétroglyphe dans le désert



De nombreux villages ne sont plus que des villages fantômes. Certainement en raison de la fin de l'exploitation de mines proches




Jamais Popeye n'a été aussi chargé. J'ai fais le plein de nourriture mais je transporte également 7 litres d'eau au cas ou.



Une voie de chemin de fer longe la route. Les trains ne transportent que des plaques de cuivre et de l'acide sulfurique


Voici la vue que j'aurai ce soir avant de m'endormir....



Je m'écarte de la route pour trouver l'endroit de mon bivouac. J'ai du poussé ma monture sur plus d'un kilomètre pour trouver un endroit à l'abri du vent et de la vue. Une petit butte me protégera de tout cela. Le problème dans un désert aussi aride c'est que le sol est soit composé de sable , soit de pierres. Pour faire tenir une tente sur de tels supports ce n'est pas simple.
La nuit ne fût pas aussi froide que je le prévoyais

Tout le long de la route, des stèles à la mémoire des victimes de cette route
 du désert

Calama ville du soleil et du cuivre. A l'entrée de celle ci une statue métallique m'accueille

4 commentaires:

fabienne a dit…

Quel paysage lunaire! mais vraiment aride, cela manque de verdure!
et tu as dû souffrir comme les concurrents de Pékin Express de la chaleur et du poids de ton vélo
Continue de nous faire rêver avec tes belles photos!
Je t'embrasse très fort

Anonyme a dit…

Pfoouuu !!! mon pépère, il a l'air de faire bon, au soleil, là bas !
Dire qu'ici, au nord de la Loire, le printemps n'est pas encore arrivé !
Heureusement, dans 7 semaines, on changera la pluie sarthoise pour la pluie bidartaine !
Effectivement, pour le bivouac, il vaut mieux s'écarter un peu de la piste, au cas où un fou furieux du paris / dakar passe à fond !
Courage !
Solen

Anonyme a dit…

Salut Hervé,

quelle étape dans ton voyage !!!
j'avoue que je suis impressionnée par ton "courage" pour s'aventurer dans ce milieu aride, vide de tout si je puis dire et en prime chargé comme une mule. En tout cas, bien content de te retrouver entier à la sortie.
Bon courage
Carine, Laurent et Thomas

Anonyme a dit…

Mmmmmmm ! ce desert me rappelle mon avenir professionnel .....!!!!
Mike (je suis de retour)